Un dimanche avec: Marina Kaye au micro de Karine Ferri

Marina Kaye repart à la rencontre de son public. A l’occasion de son retour sur scène, avec pour point d’orgue un passage dans la prestigieuse salle de l’Olympia de Paris, la jeune chanteuse a répondu aux questions de Karine Ferri ce dimanche 17 avril, entre 18h et 19h sur RFM.

Pour commencer cette interview, Marina Kaye a expliqué les nouveautés de cette deuxième partie de tournée: «Je vais participer à des festivals alors que je n’y suis jamais allée en tant que spectatrice, je ne sais pas à quoi ça ressemble. Je vais complètement découvrir», a-t-elle confié avant de s’attarder sur son concert à l’Olympia: «J’ai déjà été chantée là-bas pour une association et j’ai été très agréablement surpris par le son de la salle. La musique sonne complètement différemment de toutes les salles où j’ai pu jouer».

En plus de cette série de concerts, la jeune femme va interpréter les titres de son premier album Fearless outre-Atlantique: «Je suis super excité, parce que je vais aussi faire des dates aux États-Unis ! C’est la première fois que je vais là-bas pour jouer». Si elle rêve de s’exporter en dehors des frontières, Marine Kaye préfère prendre son temps pour mettre un maximum de chances de son côté: «Mon album n’est pas encore sorti à l’étranger. Je n’ai pas envie de balancer l’album comme ça, il sortira ailleurs quand tout sera bien calé. Je ne veux pas qu’il passe à la trappe », a-t-elle déclaré.

L’interprète de Homeless a donné le secret de son inspiration pour son jeune âge: «Je pense que je sais capter les moments qui me transcendent le plus. Il y a des choses qui nous marquent d’une façon ou d’une autre, soit on fait le choix de rester marquer, soit on fait le choix de la mettre sur le papier ou de le communiquer d’une façon ou d’une autre», a-t-elle expliqué avant d’ajouter: «J’ai toujours un mon téléphone pour que ça aille vite».

Pour ce faire, Marina Kaye a l'avantage d’avoir certaines de ses chansons signées par des artistes internationales: «J’ai eu la grande chance d’avoir un titre écrit par SIA. Une jeune violoniste américaine, Lindsay Sterling, a collaboré avec moi sur un des titres de mon album». Pourtant, la jeune femme ne compte réiter l'expérience qu'à certaines conditions: «J’apporterai bien quelque chose au projet de quelqu’un d’autre, mais je n’ai pas de nom à citer. Je n’aime pas faire des trucs parce que c’est quelqu’un de connu, parce que c’est au bon moment de la carrière de quelqu’un».