Imany en interview au micro de Karine Ferri

Imany était l’invitée de Karine Ferri ce dimanche 8 mai dans son émission «Un dimanche avec», entre 18h et 19h, sur RFM.

Après un 1er album, The Shape Of Broken Heart, vendu à plus de 180 000 exemplaires en France et autant à l’étranger, l’écriture et la composition de la musique du film Sous Les Jupes des Filles, et une tournée internationale de plus de 370 dates, Imany est de retour. La jeune femme vient de sortir un EP de quatre titres le 29 avril, en prélude de son album prévu pour le mois de septembre. A cette occasion, la chanteuse a répondu aux questions de Karine Ferri ce dimanche 8 mai.

Pour commencer l’entretien, la chanteuse s’est attardée sur le délai de livraison de son nouvel album, à savoir le mois de septembre 2016: «On a mis beaucoup de temps à faire ce nouvel album. J’ai commencé à réécrire des textes il y a 3 ans et demi, sur la route. Le premier album avait bien marché et je ne voulais pas faire un deuxième album très rapidement», a-t-elle confié. Si Imany a pris son temps pour confectionner ce nouvel opus, ce n’était tout de même pas sans risque: «On m’a dit: "Attention tout le monde va t’oublier", mais je me suis dit que le plus gros risque c’était de sortir un album dont on n’ est pas satisfait», a-t-elle expliqué pour justifier son choix. Choix payant puisque les gens ne semblent pas l’avoir effacé de leur mémoire. Et plus important, la chanteuse est contente du rendu final: «Je  suis très fière de l’album. C’est toujours de l’acoustique, mais l’attitude a changé. C’est beaucoup plus live et plus produit. Il y a plus de titres coups de poing».

La chanteuse s’est penchée sur le titre phare du EP sorti le 29 avril, en partenariat avec RFM, en prélude de son album There Were Tears: «C’est une histoire que l’on a écrit à la mort de Nelson Mandela, mais l’idée était de fantasmer une conversation avec lui et de s’imaginer ce qu’il dirait aux générations actuelles. On a imaginé qu’il dirait de ne pas laisser tomber». Et quand on lui demande dans quel état elle est quelques mois avant son Olympia: «J’essaie de ne pas trop y penser parce que c’est très loin. Avoir un bébé ce n’est pas simple pour le corps et la tête. C’est un bonheur qui se paie cash. C’est un jour après l’autre. C’est difficile de retrouver les anciens automatismes».

Imany en interview au micro de Karine Ferri, l'intégrale.

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