RFM MUSIC LIVE à Caen: le résumé

RFM a mis les petits plats dans les grands! À l’occasion de ce dernier RFM MUSIC LIVE de l’année 2015, la station a invité Marina Kaye, Joyce Jonathan, La Troupe du Roi Arthur et Stéphanie Hardy à venir se produire Au Bureau de Caen pour un concert réservé exclusivement aux auditeurs.

C’est Stéphanie Hardy qui a eu la lourde tâche de donner le ton de cette soirée, devant un parterre de 300 personnes. Venue tout droit du Canada, la jeune femme a soufflé un véritable vent de fraîcheur avec son single J’aime tout de toi, écrit par un certain K-Maro. Un titre à la mélodie accrocheuse qui a dû surprendre plus d'une personne dans le public présent. Signée chez Polydor, l’artiste va sûrement faire parler un peu plus d’elle dans les mois à venir.
 
Joyce Jonathan a pris la relève de la jeune chanteuse pour interpréter ses titres en acoustique. Accompagnée d’un guitariste, elle a insufflé un vent de bonne humeur avec ses mélodies rythmées et entrainantes à l’image de son tube Ça ira. À noter que le troisième album de la jeune femme, Une place pour moi, paraîtra le 5 février prochain dans les bacs.

Florent Mothe et Camille Lou de La Troupe du Roi Arthur ont littéralement enflammé cette soirée du RFM MUSIC LIVE. Difficile de ne pas bouger de son siège en entendant Mon Combat (Tir Nam Beo) ou encore Quelque chose de magique. Le public a même participé à la prestation, puisqu’il a accompagné le duo en poussant la chansonnette. Aucun doute, nos auditeurs présents ce mardi à Caen se précipiteront les voir sur scène lors de leur tournée colossale en 2016.

Tête d’affiche de la soirée, Marine Kaye a été à la hauteur de l’attente du public: chaleureuse, naturelle et performante. Que demander de plus pour clôturer cet événement?  La jeune femme a chanté ses trois titres avec une formation réduite, accompagnée d’un piano et d’un violoncelle. Le point d’orgue de cette soirée a été l’interprétation du titre Homeless, véritable carton issu de son premier album Fearless. Un morceau plein de fragilité et de rage qui n’a rien à envié à ses modèles anglo-saxons.