Christophe Willem en interview au micro de Karine Ferri
A l’occasion de la fin de sa tournée hexagonale, le chanteur a répondu aux questions de Karine Ferri ce dimanche 1er mai entre 18h et 19h sur RFM.
Après avoir réalisé une série limitée de «happening» concerts dans des lieux insolites, Christophe Willem a clôturer sa tournée hexagonale de la plus belle des manières. En effet, le vainqueur de la quatrième saison de Nouvelle Stara décidé de proposer à ses fans un live unique au Théâtre du Châtelet le 29 avril dernier, accompagné de l’orchestre national de Lille.
Ce dimanche 1er mai, entre 18h et 19h, le chanteur est revenu sur cette longue tournée, dont RFM était partenaire: «La tournée s’est faite en plusieurs étapes et il y a eu plusieurs versions. Je ne suis jamais dans une routine, Je me renouvelle et je n’ai jamais l’impression de faire la même chose», a-t-il confié au micro de l’animatrice de RFM avant d’ajouter: «Je pense que c’est le seul endroit où on peut être totalement ce qu’on est. Il y a un échange avec le public, qui est tout le temps différent. Je pourrais y être tous les jours sans problème».
Pour rappel, Christophe Willem a donné une série de concerts dans plusieurs endroits insolites, à l’instar de l’Institut du monde arabe, du Mont Saint-Michel ou encore du Pic du Midi. Il explique son choix: «Au moment de la sortie de l’album, je ne voulais pas faire l’éternel showcase qui est souvent destiné aux médias et pas au public», a-t-il déclaré. «Je trouvais ça plus drôle de mettre en place une série de concerts dans des lieux improbables pour se connecter avec le public par la musique. Je savais que c’était une capacité très réduite de places et ça allait être des hard fans qui allaient acheter ces places. C’était une façon de les remercier», a-t-il renchéri.
Et quand on lui demande si un lieu lui a été interdit, il répond : «Il n’y a pas eu de refus, mais des choses compliquées. Je voulais faire un concert dans les catacombes de Paris, mais ça n’ a pas été possible pour plusieurs raisons techniques». Et son concert préféré? «De toutes les dates, le mont-Saint-Michel était le plus particulier. Ça c’est fait dans une église. Quelque soit la religion, des gens se réunissent dans ses lieux avec une idée collective et jouer là-dedans c’est chargé de choses. Ça donne un caractère un peu divin avec ce qui se passe, d’autant plus qu’il y avait qu’une soixantaine de personnes dans le public».
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