7 anecdotes que vous ignorez sûrement sur Gérald De Palmas

A l’occasion de la sortie de son nouvel album ce vendredi 1er avril, «La Beauté du Geste», RFM vous propose de découvrir 7 infos insolites concernant Gérald De Palmas.

Sa découverte de la musique.
C'est grâce à un disque de Ska, genre musical ayant émergé en Jamaïque à la fin des années 1950, que son cousin lui avait rapporté d'un voyage en Angleterre que Gérald tombe sous le charme de la musique.

A 18 ans, il se fait produire par... Étienne Daho.
A l'âge de la majorité, Gérald De Palmas rejoint en tant que bassiste-chanteur le groupe Les Max Valentin. Lors d'une soirée en boit de nuit, il branche alors Étienne Daho pour qu'il s'occupe de son groupe. Quelques whiskys plus tard, Étienne Daho accepte de les produire. Le single Les Maux dits sort et la carrière de Gérald commence. 

Il a repris l'un des poèmes de son grand-père.
Si Pacscal Obispo rencontre le succès avec son album Billet de Femme, qui met en avant les poèmes de Marceline Desbordes-Valmore (plus connue sous le pseudonyme Notre-Dame-des-Pleurs), Gérald De Palmas avait lui aussi mis un poème en musique. En effet, sur l'album Marcher dans le Sable, il a repris le poème Le Gouffre que son grand-père Raoul Nativel avait écrit. 

Il est fan de...
Robert Palmer ! Lors d'une interview, il avait confié que sa chanson préférée était Every kind of People. En 1996, il avait interprété cette chanson avec Teri Moïse dans l’émission Taratata.

Jean-Jacques Goldman lui redonne confiance.
Après l'échec de son album Les lois de la nature, Gérald De Palmas avouera avoir perdu confiance en lui après ce revers. En manque d'inspiration, il demande à Jean-Jacques Goldman de lui écrire un texte. Ce dernier lui compose alors J'en rêve encore. Cinq mois plus tard, De Palmas publie un nouvel album, Marcher dans le sable.

Ailleurs sur le web

Commentaires